L’entrepreneuriat est étroitement lié à des préjugés bien éloignés de la réalité. Cela crée une grande résignation au sein de ceux qui souhaitent fonder leur entreprise. Afin de rectifier le tir et mettre au clair les valeurs de l’entrepreneuriat, voici trois idées conçues à oublier, dès aujourd’hui.
L’entrepreneuriat n’est pas fait pour les jeunes
Lorsqu’on pense au fondateur d’une entreprise, le cliché du chic type en costume et cravate vient vite à l’esprit. Pourtant, la jeunesse branchée jalonne le milieu entrepreneurial et plusieurs de leurs projets ont connu un franc succès. Il y a également cette idée comme quoi l’expérience est forcément nécessaire pour se lancer. Cela n’est pas totalement faux. Certes, les jeunes ont bien d’autres qualités comme le dynamisme et la créativité comme base de leur projet. Ainsi, l’expérience peut se gagner en accomplissant le travail.
L’objectif principal est l’argent
Parmi les préjugés sur l’entrepreneuriat, celui-ci demeure plus erroné. Les débuts requièrent beaucoup d’investissements personnels : les économies personnelles, par exemple. En effet, un prêt bancaire implique un apport économique suffisant. L’emprunt devra être remboursé dès que possible et cela prend une grande partie sur les premiers gains. Les cinq premières années en entrepreneuriat sont les plus difficiles et peu sont celles qui y survivent. Cela prouve qu’il faut de la passion et de la patience pour diriger sa propre entreprise.
Il est nécessaire d’être diplômé
Les diplômes symbolisent des années d’apprentissage et sont valeureux. Aussi leur obtention requiert dextérité et persévérance. Néanmoins, ce n’est pas l’atout majeur d’un dirigeant d’une entreprise. En effet, les études sont un outil très avantageux, mais il y a bien d’autres qualités qui font un bon entrepreneur. Il y a par exemple la capacité de leadership pour mener son équipe et la motivation de continuer en cas d’échec, mais encore, la sociabilité pour se créer un bon carnet d’adresse et de partenariat.